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repas d'affaires

Il n'y a pas de mystère pour renforcer les liens avec un partenaire ou détendre l'atmosphère avec des clients et des prospects, se retrouver autour d'un bon déjeuner est souvent bien utile, voire indispensable. Tant que cela reste exceptionnel, il n'y a pas de problème. Mais dès lors que le rythme augmente, on commence à craindre de monter sur la balance. Pourtant, quelques principes simples peuvent vous permettre d'aborder cette "épreuve en toute tranquillité", même d'allier repas d'affaires et amaigrissement. Dix conseils avec un spécialiste en la matière, Michel Montignac, auteur de la célèbre "Méthode Montignac".

1. Ne vous privez pas
Inutile de se serrer la ceinture plus que de raison. Votre client ou partenaire prend une entrée, un plat et un dessert? Faites de même si vous en avez envie. "Il n’y a aucune raison de limiter le nombre de plats, car ce n’est pas la quantité de ce que l’on mange qui importe, mais la qualité, ou plus exactement, la nature. C’est bien d’avoir une entrée, à condition qu’elle soit composée de crudités c'est-à-dire de glucides à index glycémiques (IG) très bas", souligne Michel Montignac. De même, pour le plat, l’accompagnement devra impérativement être un glucide à IG très bas: légumes vert ou lentilles, haricots, pois chiches, etc.

2. Buvez du vin
Ce n'est pas tant que le vin soit permis, c'est même qu'il est conseillé! Boire un verre de vin rouge au cours du repas est souhaitable dans le cadre de l’amaigrissement et surtout de la protection des risques cardiovasculaires, et ce à tous les repas principaux, assure Michel Montignac. Une ou deux fois par semaine, il est tout à fait possible de boire trois, voire quatre, verres dans la journée sur un ou deux repas. Vous pouvez donc accompagner sans remords votre invité au cours d'un repas d'affaires.

3. Mais oubliez le pain
S'il peut être consommé sans crainte au cours du petit-déjeuner, il est en revanche déconseillé de manger du pain au cours des repas principaux. Le seul pain acceptable est le pain intégral que l’on ne trouve que dans les boutiques bio, ou alors le pain noir allemand (Pumpernickel). Le pain complet du commerce a le même IG que le pain blanc, donc à éviter. Enfin, si vous optez pour des crakers, je vous conseille les Wasa fibres, toujours selon Montignac. Faites donc attention à ne pas grignoter de pain en cours de repas. Il faut surtout savoir résister quand vous attendez d'être servi et que la faim se fait sentir.
Pas de viande plus de trois fois par semaine.

4. Du poisson plutôt que de la viande
Les poissons ou les crustacés devront avoir votre préférence au cours de vos repas. La viande ne doit pas être consommée plus de trois fois par semaine et jamais le soir. Pour la viande rouge, ce n'est pas plus d’une fois par semaine. À éviter surtout: l'entrecôte et la côte de bœuf qui contiennent beaucoup trop de mauvaises graisses. Oubliez aussi tous les plats en sauce comme les daubes, la blanquette. Vous pouvez en revanche vous permettre de temps en temps un petit salé aux lentilles ou une choucroute (sans les pommes de terre) et un confit de canard aux cèpes (sans les pommes de terre sarladaises).

5. Des légumes verts en accompagnement
Les légumes à privilégier sont les brocolis, les haricots verts, les épinards, les aubergines, les tomates, mais aussi les lentilles vertes, le flageolet et les pois chiches. Les uns ou les autres peuvent être consommés à volonté car ils ont tous un glucide à IG très bas.

6. À proscrire: la pomme de terre sous toutes ses formes
Jamais de frites, c'est un véritable poison diététique, prévient Michel Montignac. La pomme de terre, d'une manière générale, est à éviter, son index glycémique étant très élevé.

7. Des fruits au dessert et un café décaféiné
Évitez les gâteaux et préférez les fruits en fin de repas. Michel Montignac conseille en particulier les fruits rouges, comme les fraises, les framboises, les myrtilles ou les mûres. Après le dessert, il faut éviter le café infusé à l'américaine. On peut prendre à la place un café décaféiné en expresso.

8. Oubliez la restauration rapide
Ni sandwich, ni pizza. Si vous n'avez pas de repas d'affaires et pouvez déjeuner au bureau, le mieux est d’apporter son repas dans une boîte hermétique (une salade composée avec des œufs durs et du thon en boîte, ou encore des spaghettis froids). "Une fois par mois, quand on est en déplacement et que l’on n'a absolument pas le choix, le sandwich peut dépanner", concède cependant Michel Montignac.

9. L'eau, c'est avant, pendant et après
Contrairement à certaines croyances qui voudraient de ne pas boire d'eau en cours de repas, mais avant, Michel Montignac conseille de s'hydrater pendant et après le déjeuner et le souper. Et si vous buvez du vin, il faut alterner les deux breuvages.

10. Et si on a faim entre les repas?
Si malgré votre petit déjeuner et votre repas du midi, il vous arrive d'avoir faim en cours de journée, on peut exceptionnellement manger une pomme ou quelques amandes naturelles. Jamais, au grand jamais, il ne faut manger de barres chocolatées qui contiennent 95 % de sucre, glucose et de mauvaises graisses. Deux ou trois carrés de chocolat noir amer à plus de 70 % de cacao sont cependant possibles, prévient Michel Montignac.

Parcours:

Michel Montignac
Après des études de Sciences Politiques et une spécialisation en Sciences Humaines, Michel Montignac mène une carrière de cadre supérieur dans l’industrie pharmaceutique au niveau international. À la fin des années soixante dix, il décide d’entreprendre des recherches sur la nutrition pour résoudre son problème de poids. Michel Montignac élabore les bases d’une méthode originale pour perdre du poids. Il est alors le premier à avoir l’idée d’utiliser le concept des index glycémiques (quasiment inconnu à l’époque) dans l’amaigrissement.
En 1986, il écrit son premier livre: "Comment maigrir en faisant des repas d’affaires" qui s’adresse plus particulièrement aux managers qui comme lui à l’époque, ont l’obligation professionnelle de manger souvent au restaurant. Publié à compte d’auteur, ce livre devient rapidement un best seller en France (550.000 exemplaires). Autres renseignements sur le site de l'auteur, au lien: