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Le snacking: vous le pratiquez sans le savoir. 9 français sur 10 pratiqueraient le "snacking" selon une récente étude Ipsos. L'évolution de notre société depuis 50 ans a favorisé l'essor de ce nouveau type de consommation. Entre les repas ou à leur place, le snacking est largement pratiqué aujourd'hui. Les produits phares des snackers sont les produits laitiers (38 %), les produits salés à grignoter (15 %) et les viennoiseries (11 %).
Et snacker n'est pas forcément mauvais. Prendre cinq repas par jour, avec par exemple deux en-cas le matin et l'après-midi, n'a pas de conséquence sur le poids à condition que l'apport calorique global reste stable et raisonnable selon la morphologie de chacun. Facile, non?
Le grignotage: quelle influence sur le poids?
Face à l'ampleur de ce nouveau comportement alimentaire, les nutritionnistes commencent à s'interroger sur ses conséquences sur le poids et la santé. Le snacking constituerait déjà près de 30 % des apports énergétiques quotidiens des enfants aux États-Unis et 20 % en Europe.
Si le snacking représente une "fragmentation" de l'apport calorique quotidien, et que les aliments concernés sont souvent riches en sucres, il n'est cependant pas prouvé qu'il favorise l'obésité. Ni même la perte de poids d'ailleurs. Si le snacking répond à un besoin énergétique précis (faim conséquente à un repas léger, fatigue, activités sportives, etc.), les nutritionnistes ne l'interdisent pas. Ils parlent même de "snacking intelligent", car équilibré. Pour snacker intelligemment donc, mieux vaut favoriser les aliments riches en protéines, car ils rassasient davantage.
Par contre, si le snacking fait office de grignotage, sans faim et sans besoin, il va s'ajouter à l'apport calorique quotidien, et la prise de poids est assurée. Pour une envie soudaine de grignotage, jetez-vous donc sur un fruit par exemple!