Bière belge forte ayant subi une deuxième fermentation. Elle s'obtient en coupant de vieux lambics (1 à 3 ans, vieillis en fût de chêne), plus acides et plats, avec de jeunes lambics, plus fruités et pétillants. Le sucre résiduel de ces derniers permet une seconde fermentation en bouteille. Tout l'art du brasseur consiste à marier les crus, afin de produire une geuze bien équilibrée, moyennement gazeuse et pas trop surette.