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Même si les effets cardio-protecteurs apportés par cette consommation étaient connus de longue date des chercheurs, une étude du Britannique St Léger, publiée dans The Lancet en 1979, a marqué le début de l'essor considérable des recherches dans le domaine du vin. Dans cette étude-charnière, St Léger montre une relation inverse entre la consommation moyenne de vin dans 18 pays et la mortalité provoquée par maladie cardio-vasculaire. De nombreuses études postérieures ont confirmé cette observation, à telle enseigne que les données sont aujourd'hui tellement indiscutables que d'importantes instances de santé publique ont reconnu l'association dans leurs recommandations officielles à la population.
Malgré des "facteurs de risques" importants (sédentarité, nourriture abondante et riche) la mortalité en France par maladies cardio-vasculaires est l'une des plus faible du monde. C'est le fameux "Paradoxe Français". D'une façon générale, une consommation raisonnable et quotidienne de vin, associée à une alimentation équilibrée (à base de graisses végétales, fibres, céréales, fruits et légumes frais) a des effets très bénéfiques sur la santé et l'espérance de vie. La protection observée est liée non seulement à l'alcool du vin, mais surtout à ses composés phénoliques, contenus dans tous les vins rouges en particulier, et d'autres aliments.