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De la conversion de Sainte Marguerite d’Antioche à cette belle histoire d’une reconversion, il n’y avait qu’à faire le saut symbolique. Combien ont eu le coup de foudre de la vigne et ainsi abandonné la grisaille du bureau ou de l’usine pour une belle parcelle de vignes aux couleurs arc-en-ciel. Jean Pierre Fayard est un de ces reconvertis. Parti des collines du Forez, il gagna subitement les forets des Maures. Ayant acquis en 1977 une quinzaine d’hectares, il transforma le domaine de Sainte-Marguerite pour produire aujourd’hui des perles de vin.
Sainte Marguerite est vénérée pour avoir dompté la baleine comme Jonas, mais aussi en tant que perle (ou Margaritifera : l’exploitation des perles de coquillage). Ce petit domaine devenu grand (25 hectares) produit des vins provençaux gorgés de soleil. Mourvèdre et Syrah faisant bon ménage offrent aux clients exigeants des vins rosés, rouges et blancs de garde ou à boire aussitôt sous la tonnelle parfumée. À deux pas de la mer, à l’est d’Hyères, le Domaine de Sainte-Marguerite se situe à La Londe et avoisine le Parc des Oiseaux. C’est un enchantement. Soyez assuré que le patron des lieux, qui soigne ses vins sous les conseils avisés de l’œnologue local Richard Bertin, est un éleveur hors pair. Porter le nom de Marguerite pour un domaine viticole, en cette journée d’été, c’est vouloir offrir des bouteilles de Sainte-Marguerite comme on offre un bouquet !
Sainte Marguerite d’Écosse martyre vécut entre le IIIe et IVe siècle. Elle est la protectrice des femmes enceintes qui la vénéraient grandement au Moyen Âge. Certaines légendes associent le gros ventre de la femme enceinte à la barrique. Les tonneliers donnent également le nom de « marguerite » à la forme du tonneau, ceci à un certain stade de sa fabrication, lorsqu'une seule extrémité est cerclée, l'autre restant épanouie comme une fleur.
Source : SANTOVINO.com