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Au temps de Brillat-Savarin, le faisan n'était jugé dignede la table d'un gastronome qu'à l'état de complète putréfaction (il recommandaiten effet de le conserver dans ses plumes jusqu'au verdissement de l'abdomen) etGrimod de La Reynière, lui, le déclarait à point lorsque, suspendu par laqueue, le faisan se détachait de lui-même même. Le faisandage très prisé àl'époque de Montaigne, Brillat-Savarin ou Grimod de La Reynière ne l'est plusguère aujourd'hui et il est même réprouvé par les hygiénistes et les véritablesgastronomes.