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Le Train Bleu
Soucieuse d'impressionner les futurs visiteurs venus de l'Europe entière pour l'exposition universelle de 1900, la compagnie ferroviaire Paris-Lyon-Méditerranée demande également à l'architecte Marius Toudoire d'aménager le buffet de la Gare de Lyon.
Le Train Bleu
Gare de Lyon, Paris XIIe
Brasserie Café de la Paix
Tout ce que l'Europe et les Amériques compte de financiers, d'aristocrates, et d'industriels se presse dès lors dans le temple du bon goût parisien pour voir et être vu. La clientèle y est si élégante que, selon une gazette de l'époque, "les hommes de lettre ne s'y aventurent pas et les cocottes s'y sentent gênées".
Le Café de la Paix
12, boulevard des Capucines, Paris IXe
Lapérouse
Le crissement d'un diamant sur un miroir... Un son habituel chez Lapérouse à la Belle Époque. Dans les petits salons du premier étage, les Élégantes vérifiaient ainsi la valeur des cadeaux de leurs soupirants. Les traces laissées par ces bijoux sont encore visibles aujourd'hui dans ce lieu intime à l'ambiance feutrée. Crée en 1766, le destin de ce restaurant a évolué au rythme des bouleversements de son quartier.
Lapérouse
Quai des grands Augustins, Paris VIe
Le Bouillon Racine
Aménagé en 1906 par l'architecte Jean-Marie Bouvier pour le compte de Camille Chartier, roi de la restauration populaire du début du siècle, l'établissement propose une recette simple aux travailleurs du quartier: un plat unique de viande assorti d'un bouillon, servis à même le marbre des tables dans la tradition des Bouillons de Pierre-Louis Duval.
Le Bouillon Racine
3, rue Racine, Paris VIe
Le Gallopin
Le 40 rue Notre-Dame-des-Victoires symbolisera donc le mariage réussi entre l'Angleterre Victorienne, le New-York fin de siècle et le Paris Haussmannien de la Bourse: Gallopin y crée Le Grand Bar en faisant venir une impressionnante porte tournante (déposée depuis, pour des raisons de sécurité) de New-York, tandis que le bar et les boiseries victoriennes, en bel acajou de Cuba, sont acheminées de Londres.
Le Gallopin
40 rue Notre-Dame-des-Victoires, Paris IIe
La Maison du Télégraphe
Apprécié pour son charme et son élégance, cet endroit historique dont la devanture ne laisse rien supposer de son décor ouvre en 1987 et devient un des restaurants "branchés" de la capitale. Repris à la fin des années 1990, il subit quelques petites transformations: murs peints à la feuille d'or, nouvelle vaisselle. Le plafond rappelle par petites touches le violet foncé des nouveaux sièges et donne à ce lieu une atmosphère chaleureuse et feutrée tout en gardant l'esprit insufflé par Bliaut au début du siècle.
La Maison du Télégraphe
41 rue de Lille, Paris VIIe
Le Zimmer
On peut alors y croiser Jules Verne, l'oeil mystérieux, saluant avec distinction Sarah Bernhardt et sa cohorte d'admirateurs. Mahler, Debussy et Strauss viennent y discuter Wagner ou dodécaphonie. La danse et les ballets russes sont également bien présentés, avec Nijinski et Diaghilev paradant sous l'oeil amusé de Picasso ou d'Apollinaire.
Le Zimmer
1, place du Châtelet, Paris Ier