Aso se trouve dans le district de Daikanyama. On pénètre dans une vieille maison, plus occidentale que japonaise, avec son patio, son écrin de verdure, son escalier qui mène aux salons lumineux du premier étage. Un petit air d’Italie flotte dans les lieux. Quelques toiles accrochées aux murs, un Vlaminck, période ciels tourmentés et orages, des Bernard Buffet.
Une approche esthétique que l’on s’attend toute naturellement à retrouver dans l’assiette. Car la cuisine du chef Tatsuji Aso – autrefois l’élève du célèbre Hiramatsui auquel d’ailleurs appartient l’établissement – est belle, précise, sans être clinquante ou maniérée.
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